jean duflot
 
FICHE De l’auteur :
 
Journaliste et écrivain, Jean Duflot a publié une quinzaine d’ouvrages :

Entretiens avec Pier Paolo Pasolini. 
Éditions Belfond 1970 
Entretiens avec Alberto Moravia. 
Éditions Belfond 1970
Les dernières paroles d'un impie. 
Éditions Belfond 1970
L'Italie du Manifesto. 
ÉditionsTête de feuilles 1971
Feltrinelli, le condottiere rouge. 
Éditions Balland 1974
Entre Dieu et César, avec Jean Kermoal. Éditions Mégrelis 1982 
Il sogno del Centauro. Editori Riuniti 1983
Fellini. Éditions Stock 
Le G.A.L, Terrorisme d'état. CEDRI 1989
El Ejido, terre de non droit. 
Éditions Golias - Forum Civique Européen 2003)
Pier Paolo Pasolini. Éditions Gutenberg 2007
De Lampedusa à Rosarno, euromirage. Éditions Golias 2011
Der Sklavenaufstand in Rosarno. 
Éditions Cedri, Bâle 2011

Traductions: 
Octobre à Cuba, M.Tuttino. 
Éditions Maspero 1969
Correspondances : Gramsci-Togliatti.  Éditions Maspero

Collaborations journaux: 
Communita, Selearte, Révolution Africaine, Jeune Afrique, 
Politique Hebdo, Politis, Le Courrier de Genève, Archipel.
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Le texte...


Pasolini, de vive voix


La passion pour l’univers pasolinien dérive de son caractère inépuisable : l’essai de Jean Duflot Pasolini mort ou vif le montre bien. Le poète cinéaste laisse un héritage complexe et problématique: de nombreuses questions sans réponse, ses visions du présent et de l’avenir, sa lecture de la société italienne et son regard sur les cultures du monde, ses films, ses visages, le rire de ses personnages plus vrais que les acteurs professionnels.

ÉDITIONS
À PLUS D’UN TITRE

L’essai de Jean Duflot, sa « causerie » qui est son itinéraire d’interprétation et son enquête, nous ramène au cœur de l’œuvre pasolinienne pour nous inviter à de nouveaux parcours, pour nous annoncer que l’héritage théorique et artistique est, aujourd’hui, immense.

Sans le carcan du langage professoral, sans la prétention de dire le dernier mot sur Pasolini, l’auteur explore les terrains vagues de la création pasolinienne, les paysages romains entre ruines antiques et « case popolari » ;  il rend présente la voix de Pasolini, avec son timbre acéré qui persiste dans la mémoire de l’auteur, elle résonne au cœur de notre temps.

Faire résonner la voix : cette voix qui, dans un sens positif, obsède Jean Duflot, car le cheminement de la pensée provient souvent d’une sorte d’obsession, d’une volonté féroce de comprendre et d’agir dans le réel.

L’auteur reconstruit le parcours de Pasolini poète, romancier, cinéaste, dramaturge et interprète de notre temps. Le poète frioulan oppose le progrès au développement car il ne croit pas à ce développement qui détruit progressivement les différentes formes de l’humain. L’écrivain arrive à explorer le cœur de l’économie mondialisée et nous indique le chemin : les valeurs de la culture ne pourront survivre que si les « petites patries », les réalités régionales, trouveront leur place dans le panorama mondial.